La Tica, votre Bee-Nome au Costa Rica

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Le Guanacaste - Costa Rica

Mon coup de cœur Bee-Nomad : le Guanacaste

Le Pacifique nord du Costa Rica a l’avantage d’être ensoleillé presque toute l’année. Je me rappelle me lever à 05h45 pour observer le lever du soleil, me préparer, prendre un café accompagné de fruits tropicaux et d’un fameux « gallo pinto » et hop 08h00 prête à commencer la journée à proximité de la mer.  J’apprécie ces matinées ou je prends du temps libre avant de me plonger dans mon travail, surtout des temps libres dans le calme tropical.

Mon parcours de Digital Nomad


Quand on vient d’une petite campagne française et qu’on y grandit, on murit des envies de voyages ou même de grandes évasions. Même si le calme de la Dordogne a son charme, je rêvais de rencontrer une vraie plage tropicale, observer des animaux dans leur habitat naturel, parler une autre langue, observer un volcan en éruption ou encore manger un plat dont je ne connais pas la moitié des ingrédients… de l’inconnu !

Dès mon plus jeune âge, je profitais de chaque stage, chaque vacance pour partir à la découverte de nouvelles cultures dont je revenais à chaque fois grandie. Et il a suffi du pays voisin, l’Espagne, pour m’enchanter et me convaincre que c’est cette vie-là que je choisi : celle de vivre en voyageant. Je me sens plus sociable, plus curieuse, plus volontaire, plus aventurière quand je quitte ma zone de confort.

Non, je ne me suis pas arrêtée à l’Espagne 🙂 Mais pour continuer à voyager autant que je le voulais, j’ai décidé de combiner mon métier avec ce crédo. Après des expériences en hôtellerie à travers d’autres pays d’Europe, j’ai décidé de travailler dans le monde du tourisme réceptif. Travailler dans une agence locale dans un pays qui me fait rêver représentait pour moi le challenge parfait. Mais où ai-je envie de partir m’évader ?

Costa Rica, por supuesto ! J’apprécie la grande biodiversité de ce petit pays qui m’offre quotidiennement un bain de nature ressourçant. Oui, la « pura vida » totale. Les débuts m’ont quand même demandé pas mal d’efforts : le côté administratif notamment qui est assez complexe, comprendre les arrêts de bus, le sens du « ahorita » qui ne veut pas dire tout de suite mais « on verra plus tard », les deux monnaies… J’ai eu un petit temps d’adaptation pour me sentir bien dans mes baskets et aller de l’avant à la rencontre de ce petit pays. Un accompagnement local aurait été le bienvenu pour préparer un maximum de choses à l’avance. La rechercher d’appartement est également très propre à l’Amérique centrale : tout se fait sur place ! J’aurais aimé partir de France et avoir un logement qui m’attendait et répondant à mes critères. Idem pour le téléphone et internet. C’est facile… une fois que l’on sait. Je remercie ma voisine de l’époque qui m’a gentiment accompagnée dans ses démarches.

Installée depuis 3 ans au Costa Rica, j’ai complétement adopté ce pays à la taille de la Bretagne et je m’y sens bien. Aujourd’hui, j’ai pu découvrir le pays sous toutes ses facettes et m’imprégner de la culture « tica ». C’est avec plaisir que j’accompagne voyageurs, amis, familles et n’importe qui à venir découvrir ce pays avec de bons conseils avisés. Du 100% testé et approuvé avec un regard de française expatriée. Quand on aime un endroit, on a envie de le partager avec les meilleurs conseils possibles pour transmettre la même belle surprise que j’ai connu et que je connais encore aujourd’hui.

La pire galère

Trouver un appartement rapidement et correspondant à mes critères dans ce pays d’Amérique centrale. Non, il n’y a pas grands choses sur internet et ça part très vite.

Le plus beau souvenir

Une réunion d’équipe dans les eaux turquoises des caraïbes sud du Costa Rica … oui j’ai dit réunion.

Mon conseil digital nomad

Voyager léger. Ne pas s’encombrer de pleins de choses et venir avec l’essentiel pour pouvoir se déplacer rapidement et avec grande liberté.

Ce que j’aurai aimé savoir avant de partir

Que les prises sont différentes aux prises européennes, qu’il faut un bon anti-moustique pour vivre ici et que beaucoup de choses se font sur place. Il est alors intéressant d’avoir un contact local pour accompagner une expatriation de plusieurs semaines à plusieurs mois.

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